Dans la classe de CM1 groupe 3, Masaki dit au revoir à ses élèves. Perchés sur un arbre, il confie à Tatsuya qu'il n'aurait pas tenu le coup sans lui, il aurait fini par dire son vrai nom à Sarah. Quand il a vu Sarah adulte, ça l'a rendu heureux, mais ça l'a laissé avec l'envie de savoir pourquoi elle a arrêté de grandir. Serait-ce le prix pour son pouvoir? Suivi discrètement par Genichiro, Masaki arrive chez les Nishikujô, avec l'intention de poser la question. Mais, il a à peine le temps de parler à M Nishikujô que les clientes affluent pensant qu'il y a un nouveau vendeur charmant. Masaki se retrouve à aider M Nishikujô à vendre des fleurs. Sarah arrive et réprimande son père pour avoir oublié que son instituteur était allergique au pollen. Elle le laisse dans une chambre de la caravane et va lui chercher de l'eau. En se déplaçant, Masaki trébuche sur un cordon électrique et fait tomber des livres d'un placard. Sur la première page d'un journal est écrit:
"A ma petite fille chérie, pour qui la grande horloge universelle s'est un jour arrêtée. J'écris ce journal en espérant qu'un jour elle se remettra en marche. Hayato Nishikujô. Février 1982."
C'est un journal intime sur Sarah écrit par son père. Masaki pense qu'il pourra peut-être savoir le fin mot de l'histoire, mais en repensant à ses souvenirs avec Sarah, ne peut se résoudre à tourner la page. Il ne se sent pas le droit de faire ça. Il referme le journal et le remet à sa place, juste avant que Sarah ne revienne. Sarah l'accompagne à la gare et Masaki lui dit qu'ils se reverront peut-être une fois qu'il sera titulaire. Sarah lui demande alors de ne pas hésiter à lui dire son vrai nom et l'appelle Masaki. Celui-ci comprend qu'elle savait qui il était depuis le début. La porte du train se referme déjà et le voilà parti. Tatsuya la rejoint et constate qu'elle était au courant. En effet, les plantes avaient annoncé la venue d'un homme du passé. Toute cette histoire laisse à Tatsuya un sentiment de malaise et d'inquiétude.
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